Nouvel instrument de recherche | Collection Pauline Joncas

Une nouvelle collection a été traitée dans le cadre du programme de Soutien aux archives privées de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Il s’agit du Collection Pauline Joncas. Vous pouvez le trouver dans notre bibliothèque ou dans le chemin d’accès suivant: Centre d’archives ­­ > Nos fonds et collections > C066 Collection Pauline Joncas et cliquer sur Instrument de recherche au bout de la ligne.

C066  Collection Pauline Joncas. – [1935-Avant 1964]. – 1 pièce de document textuel. – 29 pièces de documents iconographiques.

BIOGRAPHIE

Pauline Bourassa nait le 24 janvier 1922, de Joseph Alphonse Bourassa et Julia Déry à Saint-Raymond de Portneuf. Elle est l’aînée d’une famille de sept (7) enfants. La famille déménage à Baie-Comeau en 1935. En 1945, Lauréat Joncas arrive à Baie-Comeau. Il est le fils d’Omer Joncas et Marie-Anne Garon, né le 20 octobre 1922 à Matane. Il est mesureur au Département du bois de la Compagnie Québec North Shore Pulp and Paper, à Baie-Comeau.

Le couple se marie à Baie-Comeau le 6 août 1947. Ils auront sept (7) enfants : Louise (Samir Guermazi), Hélène (Denis Veillette), Paul (Dinah Dionne), André (Louison Lebel), Lynn (Rolf Arneberg), Jean-François (France Fournier) et Christine (Steeve Marier). Tous les enfants sont nés à Baie-Comeau.

Avant son mariage, Pauline Bourassa était la secrétaire de John Henry Christie à l’usine. Mme Joncas a été impliqué dans la Ligue civique féminine, l’Association des parents du Collège classique de Hauterive, devenue l’Association des parents du CÉGEP de Hauterive, étant même vice-présidente. Monsieur et Mme Joncas sont les parrain et marraine de Pierre Montigny, fils de Jean-Paul Montigny et Thérèse Bourassa, sœur de Mme Joncas.

En août 1993, le couple déménage à Trois-Rivières, chez leur fille Hélène. M. Joncas y décède le 26 octobre 1993. Mme Pauline Joncas revient vivre à Baie-Comeau. Elle décède le 11 juillet 1999.

Nouvel instrument de recherche | Fonds Richelieu

Un nouveau fonds a été traité dans le cadre du programme de Soutien aux archives privées de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Il s’agit du Fonds Richelieu. Vous pouvez le trouver dans notre bibliothèque ou dans le chemin d’accès suivant: Centre d’archives ­­ > Nos fonds et collections > P103 Fonds Richelieu et cliquer sur Instrument de recherche au bout de la ligne.

P103 Fonds Richelieu. – 1957-2002. – 0,612 mètre linéaire de documents textuels. – 887 documents iconographiques. – 1 plaque commémorative.

Histoire administrative

Le premier club Richelieu (Hull-Ottawa) obtiendra sa charte le 21 février 1944. Le but de cette fondation consiste à former des clubs sociaux catholiques et canadiens-français à l’instar des Chevaliers de Colomb pour contrer les clubs neutres, tels le Rotary, le Kiwanis, les Lions.

Le Club Richelieu de Baie-Comeau/Hauterive aura son assemblée de fondation le 3 décembre 1957. Il reçoit sa charte le 15 octobre 1959. Son but principal consiste à s’occuper de l’enfance malheureuse. Il organise donc annuellement des activités de financement : la Campagne des pains Richelieu, des tournois de golf. L’argent sera ensuite distribué dans les familles à faible revenu. Devant le peu d’enthousiasme des membres et les faibles résultats du recrutement, le club limite ses activités dans les années ’90 et disparaîtra après 2002.

Nouvel instrument de recherche

Un nouveau fonds a été traité dans le cadre du programme de Soutien aux archives privées de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Il s’agit du Fonds Journal Le Large. Vous pouvez le trouver dans notre bibliothèque ou dans le chemin d’accès suivant: Centre d’archives ­­ > Nos fonds et collections > P105 Fonds Journal Le Large et cliquer sur Instrument de recherche au bout de la ligne.

P105   Fonds Journal Le Large. – 1975-1991. – 0,537 mètre linéaire de documents textuels. – 8 documents iconographiques. – 1 plaque commémorative. – 1 affiche.

HISTORIQUE ADMINISTRATIF

Le Journal Le Large naît sous l’impulsion de la Table des groupes populaires de Baie-Comeau. Se sentant peu écouter dans les médias écrits traditionnels, sous le monopole de Québecor, que la Table décide de fonder son propre organe d’information, mis à la disposition de ses membres et des autres groupes à vocation culturelle, communautaire et sociales. Le premier numéro, appelé numéro Zéro, parait en avril 1983. A l’été 1984, l’organisme Journal Le Large Inc. vole de ses propres ailes et acquiert ses lettres patentes. En 1985, l’équipe de production se dote d’une politique d’information. Cependant, après plusieurs années à vivres des subventions, à voir ses administrateurs et membres s’épuiser et quitter la région, l’organisme est dissout et la parution du Journal arrêté. En 1988, Blizz’Art Communication est créé, elle devait servir à devenir plus autonome financièrement en offrant des services de graphisme et de rédaction aux entreprises et aux organismes.